Avec 43 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016, Cloud Temple cible plus que jamais les 100 millions de chiffre d’affaires en 2020 !
Cloud Temple, grand acteur français du cloud
Cloud Temple est né de la séparation des activités de Sécurité et de Cloud Computing, de l’historique société Intrinsec.
Intrinsec a une réputation très forte en sécurité ; il était compliqué de faire valoir notre expertise sur les prestations d’infogérance ou de Cloud Computing avec autant d’efficacité. D’un côté, nous avons des experts en sécurité, qui font du test d’intrusion depuis plus de 20 ans et ont un retour d’expérience unique en France. De l’autre, un infogérant faisant du cloud qui se développe et grossit extrêmement vite.
Aujourd’hui, Cloud Temple fait partie des grands acteurs du cloud en France avec un positionnement de cloud provider, associé à des prestations de transformation, refactoring applicatif et infogérance.
Cloud Temple c’est 43 millions d’euros de CA en 2016 et 50 M€ CA hors acquisition en 2017. La fourniture de services d’Infrastructure as a Service représente presque 50% du CA Cloud Temple.
Par ailleurs, la société accompagne de nouveaux clients tels que le Groupe Véolia et le Groupe Avril.
Nomination d’un binôme à la Direction Générale, pour amorcer un virage stratégique
Successivement Intégrateur, Architecte, Directeur de Production, Directeur de l’Avant-Vente puis Directeur du Business chez Cloud Temple, Christophe Lesur incarne la culture de l’entreprise avec une totale polyvalence sur l’ensemble des domaines. Historiquement très proche du PDG Franck Dubray et associé de l’entreprise, il rend possible un alignement au plus près de la stratégie avec les opérations.
Sébastien Lescop a rejoint Cloud Temple après un parcours remarquable dans les métiers du service informatique dans de grandes structures. Il fut successivement Consultant, Directeur de projet, Directeur Marketing, Directeur de Production et ancien patron de la BU Finance d’Econocom. Son arrivée au sein de l’équipe va permettre à Cloud Temple de bénéficier de son expérience afin de développer un niveau de qualité optimum dans un contexte de forte croissance (> 20% par an).
Nous sommes à une taille où les problématiques à adresser sont nombreuses et complexes. Deux cerveaux brillants ne sont pas de trop pour conduire les opérations. Leur complémentarité business et technique leur donne une autonomie très forte et met en confiance.
Ce duo aura pour objectif le développement des points suivants :
Le virage de la digitalisation et la refonte des offres
Le métier de l’infogérance est en pleine mutation et Cloud Temple est à l’avant-garde de cette nouvelle transformation. Le client ne souhaite plus une simple exploitation de son informatique, il exige un accompagnement qui intègre de plus en plus une compréhension fine de ses métiers dans un environnement digital.
Christophe Lesur et Sébastien Lescop devront produire avant la fin d’année les nouvelles offres qui intègrent cette dimension, avec en particulier la création d’une structure d’architectes, experts, développeurs et chef de projets. Celles-ci évolueront en parallèle au Centre de Service pour produire cet accompagnement haut de gamme désormais indispensable.
Le switch de l’hybride et les transformations du centre de service
Les cahiers des charges évoluent. Les entreprises veulent toujours du Cloud Privé pour certaines applications ; en effet, ” un gros SAP d’un groupe du CAC 40, ne se déploie pas sur Azure ou Amazon, c’est suicidaire ! “, commente Franck Dubray. Ces applicatifs restent généralement chez Cloud Temple. Par contre, ces clients ont des milliers de serveurs à coté : des environnements de pré-production de développement, des fermes web. Ils demandent explicitement de les migrer chez Azure ou chez AWS, tout en priant Cloud Temple d’en demeurer l’exploitant. ” Depuis 18 mois, nous développons de l’outillage qui permet au plateau d’exploitation d’administrer ; à la fois les applications qui sont sur nos infrastructures, et celles qui sont chez Azure et Amazon “, déclare Franck Dubray.
La croissance externe : des acquisitions cohérentes
Entamée en 2014, la stratégie de croissance externe de Cloud Temple vise aussi bien un enjeu financier que de cohérence du portefeuille d’offres avec les nouveaux besoins du marché. Il y a un an, Cloud Temple investissait dans Advim, le spécialiste français des métiers de la production informatique. Fin 2016, c’est la société Netixia qui fusionnait avec Cloud Temple pour devenir le nouveau centre d’excellence Open Source et Agilité de Cloud Temple à Tours.
En cette fin d’année 2017, l’axe est porté sur les besoins d’accompagnement des entreprises sur leur refactoring applicatif. Ce volet majeur dans la transformation digitale des entreprises prend en compte les aspects méthodologiques de développement agile et technologiques d’intégration continue ainsi que d’infrastructure as code.
La conquête de l’Afrique francophone
Cloud Temple est associée à un très gros industriel à Tunis, le Groupe Poulina, qui réalise environ 2% du PIB tunisien. Grâce à cette join-venture, Cloud Temple possède des compétences sur place (10% de l’effectif global de la société), pour adresser l’Afrique notamment les pays francophones d’Afrique du nord (Maroc, Algérie, Lybie), jusqu’au centre (Cote d’Ivoire, Sénégal, etc.)
Avec sa filiale tunisienne Cloud Temple s’est dotée d’une base arrière logistique pour l’expansion en Afrique francophone. Les offres phares sont les services d’infrastructure cloud privé et la messagerie en mode SaaS. Cloud Temple est le 1er acteur au monde, à offrir ces briques de service sur le continent africain.
L’IA ; vers un assistant virtuel de l’administrateur système et réseau
Depuis 3 ans, Cloud Temple a constitué une équipe d’une douzaine de personnes qui s’inscrit dans la continuité d’une réflexion autour de l’industrialisation et de l’automatisation de son activité. Pour beaucoup les activités de l’administrateur sont des procédures répétitives et automatisables ; mais toutes ces opérations représentent encore beaucoup de jour-homme ! Cloud Temple souhaiterait passer le relais à des assistants virtuels.
Ce projet est mené en partenariat avec l’INSERM, le CNRS et SUPELEC. L’équipe inclut 4 thésards qui travaillent sur des sujets de mathématiques et IA, ainsi que des développeurs pour l’intégration et l’intégration de l’agent.
Les résultats intermédiaires sont intéressants, mais il faudra attendre 2 à 4 ans avant d’avoir quelque chose d’extrêmement étonnant. Notamment sur notre capacité à faire baisser les coûts sur notre production informatique de manière importante. C’est le prochain gap à franchir pour les infogérants. Ceux qui maîtriseront ces techniques-là réussiront à solliciter 2 fois moins de monde et pas les mêmes profils.